Chachichou, Chouchicha…ou l’art du grand n’importe quoi
Assis sur son coussin moelleux, gonflé de suffisance, un pacha,
Tirant comme un asthmatique sur sa vieille chicha,
Dont il avait réparé le tuyau avec un peu de gutta-percha,
Rêvant de retrouver sa Natacha,
Dans sa somptueuse datcha,
A moins que ce ne soit sa sensuelle Cubaine dansant le cha-cha-cha,
Ou sa délicieuse Andalouse dansant le cachucha.
Ici s’arrêtera ce prêchi-prêcha.
La panse pleine de chou et de Chabichou,
Il prit un cachou,
Puis attacha ses cheveux avec un chouchou,
Et se rasa avec un coupe-chou,
Vertuchou !
Où sont mes pichous ?
Se demanda le Mandchou.
Il était un mamamouchi,
Sur sa couche, avachi,
Mangeant des litchis,
Qui rêvait d’être un kamachi,
Passant par là un Mariachi,
Mangeant des sushis,
Lui dit « pas de Chichi !
Vas vite à ton cours de Tai Chi,
Si tu ne veux pas finir défraîchi ».
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